Patrimoine culturel immatériel

Les Maîtres saintiers à Saint-Jean De BrayeLes Maîtres saintiers à Saint-Jean De Braye

C'est quoi ?

Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux,
Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante,
Jette fidèlement son cri religieux,
Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sur la tente !"
Baudelaire
Extrait de La cloche fêlée, Les Fleurs du Mal

« Ainsi la voix des cloches exprime-t-elle, en quelque sorte,
les sentiments du peuple de Dieu, quand il exulte et qu’il pleure, quand il rend grâce
ou qu’il supplie, quand il se rassemble et manifeste le mystère de son unité dans le Christ »
Livre des bénédictions, chapitre XXX, n° 1032

Les étapes de fabrication d’une cloche Bollée

LE CALIBRE

Sur une planche de hêtre sont tracés les différents profils des 3 moules qui serviront à faire la cloche.
À noter que Bollée trace ses calibres à l'aide d'un pantographe, inventé par Amédée Bollée en 1883.

Pantographe © Ooh! Collective
Pantographe © Ooh! Collective

LE MOULAGE

Le procédé employé est celui que tous les fondeurs de fonte appellent "moulage à la trousse" : planche tournant autour d'un axe vertical fixé dans le sol; son profil représente exactement la section de l'objet qu'on veut former, et il donne en tournant les dimensions voulues à la terre qui constitue le moule.

Le moule d'une cloche se compose de 3 parties : le noyau, la chape, et entre les deux, une partie intermédiaire dite "fausse cloche" qui est en terre ce qui sera la cloche en métal.

Ces 2 parties se forment successivement en partant du noyau qui leur sert de soutien.

LE NOYAU

Le noyau est d'abord construit en briques grossièrement taillées, hérissées d'aspérités. Au milieu on a ménagé le vide où l'on fera le feu pour le sécher. On le recouvre de terre délayée dans de l'eau, d'abord grossière puis de plus en plus fine. Avant chaque couche déposée, on tranche le calibre à la lime afin de permettre au moule de prendre à chaque fois un peu de terre. Pendant ces diverses opérations, un feu doux, entretenu dans le moule, active la dessiccation, et l'on obtient bientôt le noyau dur et poli ayant la forme intérieure de la cloche.

LA FAUSSE CLOCHE

Entièrement en terre, elle doit tenir sur le noyau la place qu'occupera plus tard le métal.
Sur une légère couche de cendre destinée à empêcher l'adhérence du noyau à la fausse cloche, on dépose la terre en couche épaisse d'abord, puis très fine, de la même manière que pour le noyau.

POSE DES ORNEMENTS ET INSCRIPTIONS

On badigeonne le moule de suif chaud que racle le calibre bien poli. La fausse cloche offre alors une surface lisse et brillante coupée à différentes hauteurs par des cordons circulaires que font les encoches pratiquées sur la tranche du calibre.

Ornements © Ooh! Collective
Ornements © Ooh! Collective

Les ornements et inscriptions ont été préparés d'autre part sur des matrices sculptées dans du buis en creux, avec de la cire qui, tiédie et comprimée, épouse fidèlement toutes les finesses. Quand ils sont découpés et n'ont plus de bavures, on les colle sur le suif, et le moule alors présente l'aspect d'une cloche brune couleur de noyer verni sur laquelle se détachent en blanc les cordons et en jaune les inscriptions et ornements. Ensuite il s'agit de mettre la troisième partie du moule, la chape.


L'on dépose sur les ornements et inscriptions une terre très fine, voire pulvérisée, qui prendra place dans les moindres détails des motifs. Cette terre est très délayée et s'applique par couche au fur et à mesure du séchage du moule à l'air ambiant.

On ne commence à faire un peu de feu pour activer la dessiccation que lorsque la chape en formation a acquis assez de solidité pour se soutenir seule sur la cire ramollie. Alors l'opération va plus vite, en couches de terre mêlée de fils de chanvre croisés pour empêcher le moule de se fendre et lui donner de la solidité; on pousse rigoureusement le feu intérieur, le moule devient brûlant, la cire et le suif fondent et sont absorbés par la terre.
Le moule est alors achevé.

LES ANSES

Cette partie du moule se fait séparément sur un plateau en fonte ayant la forme de la partie supérieure (du cerveau de la cloche).


On forme en cire des anses identiques à celles de la cloche en ajustant soigneusement des pièces coulées séparément dans des moules en aluminium, puis on procède comme pour former la chape de la cloche. On met ensuite les anses dans une étuve, où fond la cire qui a servi de modèle. Cette cire est récupérée, et un vide la remplace.
On rapporte alors la partie supérieure du moule appelée "tête d'anses" et on l'ajuste sur la chape repérée et taillée. Ainsi fait, le moule ne fait qu'un bloc.

Ensuite il faut faire la place du métal. On enlève la chape qui n'a plus d'adhérence sur la fausse cloche puisque le suif a fondu; on détruit la "fausse cloche" qui n'adhère pas sur le noyau, celui-ci ayant été badigeonné de cendre. Puis le vide intérieur du noyau est rempli de terre pour permettre la pose et l'ajustage de la boucle en fonte qui servira à tenir le battant.


Alors on remet en place la chape qui repose par son bord inférieur sur la base du noyau; entre les deux existe alors la place qu'occupera le métal, on replace alors la tête d'anses à la partie supérieure de la chape.

Cette tête d'anses comporte deux ouvertures : le trou de coulée et l'évent, ce dernier s'ouvre à la partie supérieure d'une cheminée en terre, dominant le premier et servira à ménager un échappement à l'air qui remplit le moule lorsque le métal se précipitera. Sans cette précaution le liquide incandescent entrerait avec de bruyants glouglous mêlés de projections dangereuses pour le fondeur et le métal ne serait pas homogène (des bulles d'air se formeraient à l'intérieur).


Le moule ainsi fait est descendu dans une fosse creusée au pied du four. II est recouvert de terre fortement serrée pour empêcher au métal de faire éclater le moule, et de soulever la chape. Si la chape prend de la largeur sous la pression du métal, le diamètre de la cloche change, son épaisseur change également, et donc la note.

Des rigoles vont du trou de coulée (au milieu du four) à chaque trou de coulée de cloches.

Métal en fusion © Ooh! Collective
Métal en fusion © Ooh! Collective

LE FOUR

Le métal est fondu au bois (charme et chêne) qui fait beaucoup de flammes et qui rougit la voûte du four.
La voûte, ainsi rougie par réverbération, fait fondre le métal qui est posé sur la sole.

Tirage naturel (pas de soufflerie) du four, température de fusion 1200°C.
Ces fours sont spécialement étudiés pour ce procédé de chauffage au bois. Le cuivre dans le four subit un véritable affinage, une couche de braises le recouvre et le protège contre l'action oxydante de l'air. On brasse le tout à l'aide de longues perches en bois vert et les gaz qui se dégagent agitent le métal avec vigueur et le purifient.

 Quand le cuivre est fondu, on ajoute l'étain en lingots qui fondent instantanément, en refroidissant un peu le bain, mais en lui donnant une grande fluidité. Il ne reste plus qu'à s'assurer que la température est bien à 1200°C à l'aide d'un pyromètre optique.

LA COULÉE

L'on débouche le tampon de terre qui retenait le métal dans le four, et celui-ci se précipite dans les moules tandis qu'un jet de gaz enflammés sort en soufflant par l'évent. En quelques secondes les moules sont pleins, il n'y a plus qu'à laisser refroidir.

Coulée d'une cloche © Ooh Collective
Coulée d'une cloche © Ooh Collective

LE DÉMOULAGE

Cette opération commence 4 à 5 heures après la coulée de la cloche. Il faut alors retirer la terre qui emplissait la Fosse. La cloche est retirée très chaude pour lui éviter de casser sous l'action du retrait. Il ne faut pas retirer la cloche trop chaude, car elle se tremperait (se durcirait trop rapidement) à l'air et sa résonance en subirait le contre coup. » (1)

FINITION DE LA CLOCHE

Polissage et vérification de la tonalité. La note est vérifiée à l'aide du diapason à masselottes, gravé de 5 en 5 vibrations. Il suffit de trouver la concordance de son en appliquant la queue du diapason sur l'endroit le plus épais de la cloche. Le diapason étant mis en vibration en le frappant sur une masse de bois, doit donner la vibration à la cloche sans aucun saut. Un son plein et continu doit ainsi sortir de la cloche. (2)

(1) Fonderies de Cloches Bollée à Orléans [en ligne]. Cœur de France : site portail en Région Centre Val de Loire. Disponible sur : <http://www.coeur-de-france.com/fonderie-cloche-fabrication.html> (consulté le 20/09/2012)

(2) brochure de la fonderie de Cloches Bollée

Diapason à masselottes © Ooh! Collective
Diapason à masselottes © Ooh! Collective

Ça se passe où ?

Saint-Jean de Braye dans l’Orléanais, terre de Jeanne d’Arc et de Charles Péguy

C'est quand ?

La fonderie est en volée toute l’année depuis le XVIIIe siècle.

Un brin d’évasion

Les maîtres saintiers de Bollée ont créé les cloches de la fameuse Basilique Notre-Dame de la Paix à Yamoussoukro en Côte d’Ivoire. La Basilique est née de la terre en 1989 après trois longues années de travaux réalisés de jour comme de nuit. Elle est l’œuvre de l’architecte Pierre Fakhoury libanais né en Côte d’Ivoire.

Sa structure construite sur les hauteurs de la ville domine à 160 mètres de haut.

Son style est celui de la Basilique Saint-Pierre de Rome. Les cloches de Bollée sonnent à l’occasion des petites ou grandes liturgies.

Basilique Notre-Dame de la Paix [en ligne]. Côte d’Ivoire Tourisme Informations. Disponible sur : <http://www.cote-ivoire-tourisme.com/basilique_notredamedelapaix_yamoussoukro.html> (consulté le 20/09/2012)

Un brin d'histoire

Famille Bollée 8 générations au 30/09/2011

Jean-Baptiste 1715/1785
Alexis-Nicolas 1744/1815
Jean-Baptiste 1781/1820
J.B. Amédée 1812/1912
Georges 1849/1930
Louis 1878/1954
Jean 1908/2009
Dominique 1939

L’usage liturgique des cloches dans le rite romain

 « C’est un usage qui remonte à l’Antiquité, de convoquer le peuple chrétien à  l’assemblée liturgique et de l’avertir des principaux événements de la communauté locale par un signal sonore. Ainsi la voix des cloches exprime-t-elle, en quelque sorte, les sentiments du peuple de Dieu, quand il exulte et qu’il pleure, quand il rend grâce ou qu’il supplie, quand il se rassemble et manifeste le mystère de son unité dans le Christ » (Livre des bénédictions, chapitre XXX, n° 1032)

 C’est en ces termes que s’ouvre l’introduction du Rite de la bénédiction d’une cloche promulguée à Rome en 1984, dont l’édition en langue française sera officiellement reconnue par la Congrégation du Culte divin le 22 décembre 1986.

Un regard sur les origines : Comptant parmi les plus vieux instruments sonores, les cloches ont toujours été associées à la Chrétienté dès les premiers siècles de son essor, « proclamant Dieu à l’horizon » (Charles Péguy).

Il semble bien que les moines et les moniales furent les premiers à se servir des cloches pour leur vie religieuse ainsi qu’il est rapporté dans la règle de saint Césaire d’Arles datant de 513 (Vita lupi, c.v, n°21, dans Acta sanct. sept.t.I, p.292) et dans une lettre d’un diacre de l’Église de Carthage, écrite en 515 (Regula sanctarum virginum, II, 843).

Fausses cloches © Ooh! Collective
Fausses cloches © Ooh! Collective

La cloche s’appelle alors « signum » d’où l’expression « signum tangere » qui se traduit par « toucher la cloche ». Son emploi est mentionné sur plusieurs documents hagiographiques du VIe et IXe siècle. On traduira le latin tangere « toucher » par « sonner » (Dictionnaire d’Archéologie Chrétienne et de Liturgie, T.3, Letouzey-Ané, p. 1960).

Dans les monastères, la cloche devient l’observance comprise de tous. L’instrument d’airain est un reflet de la vie monastique (Cf. « Les cloches dans la vie monastique de l’abbaye de Fontgombault » ; p.60).  Cette fonction demeure aujourd’hui : elle signale les exercices communs de la vie quotidienne depuis le réveil jusqu’au coucher, incluant les offices, les repas, le chapitre, le commencement ou la fin du travail ainsi que les circonstances exceptionnelles liées au temps liturgique ou à des événements de la vie conventuelle… 

La convocation des frères avec « exactitude » est précisée dans la règle de saint Benoît au chapitre 47 : « La charge d’annoncer l’Œuvre de Dieu, aussi bien le jour que la nuit, incombe à l’abbé. Il l’exercera lui-même, ou la confiera à un frère si ponctuel que l’office se fasse toujours aux heures prescrites. » L’exactitude et la régularité soulignent l’importance première dans la vie monastique de ne rien préférer à l’Œuvre de Dieu, à l’Office divin, rythmant ainsi le temps sacré.

Le tintement de la cloche permet aussi aux frères convers qui ne participent pas à tous les offices de pouvoir s’associer à la prière des frères de chœur célébrée à l’église du monastère. 

Un autre témoignage provient de saint Grégoire, évêque de Tours de 573 à 594, ville dans laquelle l’évêque est accueilli à son entrée « cum signis » (Dictionnaire d’archéologie chrétienne et de liturgie, T.3, Letouzey-Ané, T.3, p. 1960).

À l’époque carolingienne, des conciles régionaux d’Aix-la-Chapelle (801 et 817) déclarent que la sonnerie des cloches est à considérer comme un acte sacré qui revient aux prêtres. Une ordonnance demande que chaque église paroissiale soit munie de deux cloches et chaque cathédrale d'au moins six cloches.

Tout en rythmant l’écoulement des heures depuis le Moyen-âge, leur fonction première est liturgique : par leurs volées et leurs tintements, elles appellent les fidèles à se rassembler et à prier, associant leurs chants aux joies et aux peines de la communauté chrétienne. La cloche ne ressemble-t-elle pas à la voix du berger qui rassemble son troupeau ?

Cet usage a traversé les âges. C’est ainsi que l’on peut lire encore aujourd’hui cette inscription gravée : « Ma voix annonce les fêtes, combattant tout ce qui pourrait causer un oubli pernicieux » (Chroniques d’art sacré, n° 46, p.10) ou encore cette autre tirée d’un verset de l’Écriture Sainte : « Aujourd’hui si vous entendez ma voix, ne fermez pas votre cœur » (Psaume 94, Bible de la liturgie). On peut noter la double compréhension possible :
« Entendez ma voix » peut s’attribuer à  « Dieu qui parle » ou à « la cloche qui sonne » !… » (*)

(*)  Chanoine Norbert HENNIQUE. L’usage liturgique des cloches dans le rite romain [en ligne]. Portail de la liturgie catholique. Disponible sur : <http://www.liturgiecatholique.fr/IMG/pdf/Texte_P.H_Cloches.pdf> (consulté 20/09/2012)

Un brin de poésie

La Cloche fêlée

Il est amer et doux, pendant les nuits d’hiver,
D’écouter, près du feu qui palpite et qui fume,
Les souvenirs lointains lentement s’élever
Au bruit des carillons qui chantent dans la brume.
Bienheureuse la cloche au gosier vigoureux
Qui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante,
Jette fidèlement son cri religieux,
Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente!

Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu'en ses ennuis
Elle veut de ses chants peupler l'air froid des nuits,
II arrive souvent que sa voix affaiblie

Semble le râle épais d'un blessé qu'on oublie
Au bord d'un lac de sang, sous un grand tas de morts
Et qui meurt, sans bouger, dans d'immenses efforts.

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1840

Polissage d'une cloche © Ooh! Collective
Polissage d'une cloche © Ooh! Collective

Petit abécédaire

CERVEAU DE LA CLOCHE : Partie supérieure de la cloche

CLOCHES DE BOLLÉE : elles sont plus de 40 000 cloches fondues sur les 5 continents : à Fonvielle à Monaco, Ouahigouya au Burkina-Faso, à Dugny en Seine Saint-Denis, Caderousse dans le Vaucluse, Gillois dans le Jura, Église des réformés à Marseille, Notre Dame de Triors dans la Drôme, les 7 cloches de la Basilique Notre-Dame-de-la-Paix à Yamoussoukro

GLAS TINTÉ : tintement sur une cloche ou alternance sur plusieurs cloches ; aucune cloche n’est mise en volée.

GLAS ROMAIN : volée de cloches avec tintements alternés sur une ou plusieurs cloches entre chaque frappe du battant sur la cloche mise ainsi en volée. Aujourd’hui encore, le bourdon de Notre-Dame de Paris est tinté aux obsèques d’un chanoine de la basilique métropolitaine, le nombre de coups correspondant à son âge.

PRO DEO ET PATRIA CANTO : devise de la fonderie Bollée, « Je chante pour Dieu et la Patrie »

SIGNUM TANGERE : « toucher la cloche ».

SILENCE DES CLOCHES : Tandis qu’elles « sonnent pendant le chant de l’hymne du Gloria de la messe du soir du Jeudi Saint », elles doivent se taire « jusqu’à la Veillée pascale » pour sonner à nouveau dès le commencement de « l’hymne pascal du Gloria ». 

VOIX DES CLOCHES : « Nombre de liturgistes considèrent que le son des cloches est non seulement un écho à la voix des prédicateurs de l’évangile, mais qu’il est voix : voix d’adoration, voix de louange, voix de pénitence, voix de la prière, voix du temps qui s’écoule… »

Quelques définitions [en ligne]. Société française de campanologie. Disponible sur : <http://campanologie.free.fr/> (consulté le 20/09/2012)

Sources 

GOURIOU, Hervé. L’art campanaire en Occident. Histoire, facture et esthétique des cloches de volée. Paris : Les Éditions du cerf, 2006, 336 p.

DECOMBE, Christian, DEMET, Marie-Martine, CHENOT, Daniel (Photos). Pays de France à la découverte du patrimoine régional. Paris : La Fondation du Crédit Agricole – Pays de France, 2001, 316 p.

Brochure de la Fonderie de Cloches Bollée

Chanoine Norbert HENNIQUE. L’usage liturgique des cloches dans le rite romain [en ligne]. Portail de la liturgie catholique. 
Disponible sur : <http://www.liturgiecatholique.fr/IMG/pdf/Texte_P.H_Cloches.pdf> (consulté 20/09/2012)

Charles Péguy [en ligne]. Disponible sur : <http://www.charlespeguy.fr/> (consulté le 20/09/2012)

Fonderies de Cloches Bollée à Orléans [en ligne]. Cœur de France : site portail en Région Centre Val de Loire. 
Disponible sur : <http://www.coeur-de-france.com/fonderie-cloche-fabrication.html> (consulté le 20/09/2012)

Basilique Notre-Dame de la Paix [en ligne]. Côte d’Ivoire Tourisme Informations. 
Disponible sur : <http://www.cote-ivoire-tourisme.com/basilique_notredamedelapaix_yamoussoukro.html> (consulté le 20/09/2012)

Quelques définitions [en ligne]. Société française de campanologie.
Disponible sur : <http://campanologie.free.fr/> (consulté le 20/09/2012)

Liens utiles

Site officiel de la Région Centre : http://www.regioncentre.fr/jahia/Jahia/

Site de la Société française de campanologie : http://campanologie.free.fr/

Page sur la Fonderie de Cloches Bollée: http://www.coeur-de-france.com/fonderie-cloche.html

Site du Collectif Markus : http://www.myspace.com/collectifmarkus

À écouter :

BARDOU, Sophie (compositrice) / Collectif Markus (interp.), Un pas après l’autre